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Ashe McCarty ¤ Hors-la-loi

 :: La brochure :: Dossier d'inscriptions
Dim 18 Aoû - 19:57

 
Ashe McCarty
  • 26 ans
  • Saint-Denis
  • Bisexuelle
  • chasseuse de prime ( ou de Shérif)
  • Hors-la-lois
  • 4/10
Ashe est pleine de surprise ; elle est du genre bouillant. Avec elle, on ne sait jamais si elle va exploser ou bien se mettre à rire. Elle est très émotive et a une sensibilité à fleur de peau. Il faut sans cesse que Ashe soit en mouvement, qu'elle bouge, qu'elle rie, qu'elle se fasse remarquer.

Ashe a une grande confiance en elle et est extravertie ; elle participe activement à la vie du monde. Elle a cependant un côté insouciant et a du mal à se stabiliser, à trouver son équilibre. Ashe exagère souvent ses réactions tant pour se faire remarquer que pour se donner une contenance et impressionner son public, elle reste malgré tout peu influençable. Très exigeante dans ce domaine, Ashe a une moralité pour elle et pour les autres et peut vite être blessée ou irritée par les défaillances dans leur comportement de son entourage.  

Elle n'aime pas on lui manque de respect même si, elle sait que être une femme dans se monde n'est pas facile, elle rêve de révolution et hésitera  pas e titre un balle a celui qui la touche ou lui manque de respect. Elle adore être en compagnie des chevaux, elle fait partie d'un des plus grand famille de riche mais elle a tout quitte pour des raison personnel. Elle a vécu avec des brutes, depuis elle connais parfaitement leur jeux, leur paroles. Elle a tout appris avec eux les comment titre et monte a cheval. c'est gens de la bande son comme ça famille, enfin était.  

Ashe est tellement émotive qu'elle a des réactions souvent imprévisibles, mêlant joie et abattement. Cette forte émotivité rend Ashe susceptible et nerveuse. Ashe est étonnamment rapide dans ses réactions, elle est prête à tout si elle se sent en danger. Une volonté très forte au point que Ashe est parfois capricieuse, voir tyrannique.(Demande minimum 5 lignes ou défauts et qualités)
Caractère


✗ I was just a little girl, but there was hell of lot more to me. ✗

On pourrait vous raconter des histoires d’héros qui combat le crime, mais, non, savait vous quelle est la vie au cœur impitoyable des États-Unis ? Un monde vaste remplit d'aventure même si cela était des rêves, la vie qu'on rêve ne pas toujours celle qu'on vit. Dans le vieil ouest américain à Saint-Denis, une famille riche connut de tout le monde et surtout des bandits, normal vu que ce père n'était pas n'importe qui, il était un vieux chef de gang respecté par beaucoup de personnes. Connu pour être sans pite, voilà le père que j'ai connu, un père qui préférait compagnie des billes que de sa femme.Je me nomme Ashe McCarty, j'utilise le nom de famille de ma mère, car je n'ai rien à voir avec ce vieux salopard que je nommais père à cette époque.

Je suis née dans une famille qui aurait pu être parfaite, mais non, je suis le troisième enfant de cette famille, mais la seule fille. J'étais la fille chérie de ma mère mais pour mon père, il voyait déjà une marchandise, il voila déjà mon avenir alors que j'étais qu'une petite fille de quelques mois, il avait prévu de me marie à un membre d'un gang ou un truc comme ça pour avoir encore plus d'argent ou autres, je ne connais pas ses raisons encore aujourd'hui, je ne le sais pas.


Ma mère, je me souviens d'elle, une femme forte avec une chevelure d'une blancheur immémorable, un visage aussi doucheur comme la laine d'un mouton. Elle travaille pour nourrir sa famille car un mon père ne voulait pas des penché pour une autre personne que lui, si on avait que du pain pour manger, lui était là avec son assiette remplie. La faim au ventre, il se fout bien de nous. Les nuits d'hiver étaient les pires, je vois ma mère donner toute sa force pour que cette famille. J'endente ses cris dans la nuit, les bleus sur son visage, mais peux importer à quels points la nuit était terrible, ma mère avait toujours un sourire. Un jour, je lui avais demandé pourquoi sourie alors que tu as mal. Elle m'a répondu, ne montre jamais ta douleur, ton souris et la seule arme qui est plus mortelle qu'un couteau. Quand les gens pensent que tu es au plus bas, se sourit le ferons croit que tu es loin d’être abattu. Je ne savais pas que ses paroles me servaient un jour et que ma mère me sauverait grâce à cela.

Les jours avec mon père pouvaient être beaux, ce n'était pas seulement un monstre. Pour aller en ville, on devait être beau, des beaux vêtements et nickel, sortie avec des beaux chevaux, des chevaux de la race arabe tirent nos charrettes. Peux importer dehors, il faisait tout pour nous, il avait peur des regardé, je ne sais pas trop, mais bon. On avait la paix dehors. Mais le cauchemar le plus terrible n'est pas le plus horrible, mais celui qu'on attend le moins.

Ma mère fut jetée à la porte alors que j'avais 6 ans, pour qu'une autre femme rentre dans cette maison, aussi pourrie que mon père, cela, un vieux con. Je n'aurais jamais de nouvelle de ma mère enfin si mais dans très longtemps et c'est bien à ce moment-là que la colère se révéra de plus belle. Elle était comme mon père, elle se fout bien qu'ont nous magnons à notre faim, tant qu'eux avaient ce qu'il fallait. Mes frères plus vieux que moi, eux arrivent à trouver un peu à travailler en ville pour manger correctement. Mais dans ma famille, c'est chacun pour sa gueule alors, vous vouliez bien ce que je veux dire. J'avais le reste de la nourriture. Pour ma part toutes les nuits je rêve, rêve d'une autre vie, une vie pour là quelle je voulais vivre, je me disais quand je suis grand je ne serais pas comme ça, je serais différente. Je crois que je suis long de mon rêve de petite-fille.

Si elle voit ce que je serais devenu, elle aurait honte de la Ashe que je suis devenu. Mais je n'avais pas eu le choix, de venir à celle d'aujourd'hui la pourriture que je suis devenu. Pire que mon père où c'était belle-mère, un monstre, un membre d'un groupe, une tresseuse, une chasseuse de primes, peu importe la façon de vivre, je laisse personne me tuer et me faire soufi aussi facilement aujourd'hui, je suis bien plus qu'une jeune femme. Une rebelle ou une hors-la-loi à vous de voir. Mais pour moi, je suis simple une réplique de l'horreur de ce monder.


À mes 12 ans, j'étais juste la bonne de service, je m'occupe de la lessive, vaisselles, le nettoyage d'un peu tout et surtout la cuisinière et cela devait être bon sinon je n'avais rien à manger pour la journée. Et cela n'est que la jolie partie si c'était dégueulasse. Il y avait des jours où cela va, mais des jours plus sombres. Ma belle-mère voyait d'autres hommes dans la chambre qu'elle partage avec mon père pour de l'argent, je ne sais pas vraiment si mon père était au courant, mais je sais qu'elle m'avait prévu que si je disais un mot de tout ça et bien cela se retourne contre moi et que toute ma vie, je le payais. Je me tue, je ne pouvais pas vraiment parler à mon père de ça de toute façon, il mérite un peu de suffire.

Les jours se suivent et tout ça ne change pas aussi tôt après toute ma vie était déjà écrit, une bonne esclave pour un vieil homme riche. Je ne voulais pas penser à cela alors oui, je sors un peu, je parle surtout avec les garçons d’écurie qui s'occupent des beaux chevaux de mon père, je connais par cœur, c’était maison, alors pour ne pas me faire remarquer par mes parentes sorties et entre sans me faire voir étais un petit jeu après tout le boulot fourni pour eux. J'avais 16 ans quand mon père m’avait appelé dans son bureau, je me rappelais ce soir comme-ci c’était hier, une belle journée ensoleillée, un peu de vent par pas trop, juste asse pour rafraîchir la journée chaude où c'était. D'un pas calme, j'avance la peur au ventre, je ne savais pas pourquoi mais mon cœur me disait de furie, ce n'était pas normal que mon père m’appelle comme ça au mille du jour. Il m’annonça de suivre dans ce rentre que bientôt, j'allais me marier avec un type. Je ne le connais pas et bien sûr, je n'avais pas mon mot à dire. Je ne dis rien, car j’avais appris à ne rien dire. Mais le soir venu, mon cauchemar sera plus terrible, j'avais cru que mon père ne sera pas aussi horrible, mais si.


Depuis tout un temps, j'ai cru qu'il m'aime comme sa fille mais je crois que cela était une illusion d'une petite fille naïve. La nuit venait de tombe et je vais de m’endormir, j'avais vraiment eu du mal avec la nouvelle, mais j'avais réussi peut-être à cause de la fatigue. Quand je me levai à cause d'un bruit, je le levai du lit et peu dans le brouillard, une douleur a la tête et plus rien. Quand je repris connaissance, je sens l’alcool, les chats, des hommes rire, je ne comprends pas vraiment, un feu de camp, la boue, j'étais attache comme une proie. Un type est venu, il me prit mon visage entre ses mains dit comme-ci j'étais juste un truc.


« Chef, la fille a ouvert les yeux. »


Après un long moment on se soit dit sans chef parlé je compris pourquoi il m’avait enlevé car il voulait faire comprend à mon père qu'il ne fallait pas joue avec leur nerf et surtout qu'il n'était pas appris à la légère. Je ne pas dire ce qu'il au fait, mais tout le groupe a passé. Vous saviez bien de quoi je veux parler. Les femmes étaient bonnes qu'a ça après tous ses bien une des paroles des hommes qui me lancèrent alors qu'il révélait son pantalon quand il y finit.


Le jeu allait enfin commencer. Ils me firent alors subir tout et importent quoi, qu'est-ce que j'étais ? Qu'est-ce que je savais ? Et moi, qu'il leur disait d'aller pourrir en enfer, cela me valut des coups-de-poing, des coups de bâton, etc. Mais je ne me laissais pas abattre, j’encaissais, parfois même rigolait, en attendant et imaginant le moment où je leur montrerais ce dont moi, je suis capable, mais j'espérais également que tout cela se termine et vite.

Quant à mes ravisseurs, ils avaient bien compris que je ne collaborerais jamais cela avait l'air de les énerver au plus haut point. Aux grands maux, les grands remèdes, je savais que cela finirait par arriver, ils décidèrent qu'il était temps de me briser psychologiquement. Je n'étais de toute façon qu'un animal pour eux, qu'il faut domestiquer, le briser jusqu’à ce qu'il soit sage et obéissant.

Mais je ne les laisserais pas faire, je préfère encore mourir. Ils commencèrent à me torturer de diverses manières, ils m'enfonçaient des couteaux dans le corps à des endroits où ils ne risquaient pas de me tuer afin de me faire bien souffrir, enfin, ce genre de petit jeu dangereux qui en aurait fait craquer plus d'un, mais pas moi, enfin, c'est ce que je croyais. Ils me droguaient et il devenait facile pour eux de me rattraper, après chaque fuite de ma part, la torture, les coups, se faisaient plus violents.

Mon père lui a simplement dit qu'il ne voulait pas de moi, ni payer pour me libérer, car j'étais comme il avait nommé, a oui sali, qu'il ne voulait pas d'une fille sale comme moi et qu'il pouvait me tuer s'il avait envie. Depuis mes 16 ans, j'ai vécu avec eux comme un esclave, cela ne change pas grand-chose que ce que je faisais chez moi si je peux encore l’appel ainsi sauf les nuits, cette horrible, mais je devais tenir bon, souris, voilà comme à survie a ça ont souri et on avance, un pas après l'autre. Dure une semaine, je n'ai pas dit un mot, quand un jour, je lâchai au chef qui voulait passe la nuit avec moi, que je connais la maison par cœur. Que s'il voulait de l'argent ou comment faire mal à son père, elle pouvait les aider. Le chef m’écouta et rajouta juste.


« Je vous aidais mais à une seule condition, personne ne me touche, plus jamais, je serai un membre de votre groupe comme n'importe quel homme, tu vas m'apprend comment tire, voler, monter à cheval, tout ce qu'un homme doit savoir »


Dis-je avec force et surtout sans crainte. Le courage où je ne sais quoi a fait que le chef a bien voulu se marche et il n'a tenu parole plus jamais personne ne ma pas touche sans perdre la vie. J'étais devenu un élément très important pour le groupe voit le chef, il m'avait fait du mal, mais aujourd'hui ce chef est devenu comme un père. Ils sont rentrés dans la maison avec moi, on voile ma belle-mère sous mes yeux, elle me crie de l'aide et moi je répondais tout simplement et cela rentrait rire les deux hommes.


« Sourie ma chérie, âpre toutes les femmes ne serrent qu'à ça et de plus tu aimais ça non. »


Simplement en ferme la porte avec pour seule mélodie les cris. Mon père lui devait regardait ce que ses hommes faisaient à sa femme alors que demande de lui pardonner, je détourne les yeux après tout, c'est ce que c’était famille m'a appris. Il crie et moi, je souriais encore plus, je savais comme lui faire mal. Son argent, ses chevaux, je connais ses faiblesses. Le chef me regardait tout le loin de ce vol. Je donne les chiffres du coffre-fort où il cache l'argent enfin une partie, je donne toutes les cachettes où se trouve sa stupide richesse. J'allais aux écuries, j'ai pris les chevaux des deux Arabes les plus beaux, plus préféré de mon père. Je les donne aux hors-la-loi dehors et je finis par des nouveaux rentrés dans la chambre. Ma belle-mère était au sol en pleure, mon père lui demande pourquoi je faisais ça m'a seule réponse avait été un coup de couteau dans le gore. Les hommes du groupe se demandaient ce qu'il m'arrive, ils m'ont dû me stop. Car je n’arrête pas de sort et rentre ce couteau. J'avais le sang de mon père sur moi, mais je me fous bien.

La colère, l'injustice, la douleur... Je n'étais plus que l'ombre de moi-même. Par moments, je ne parvenais plus à retenir la colère qui sommeillait en moi et son instinct reprenait le dessus, elle se nourrissait de ma douleur, de ma haine, de ma rage et cela réveillait mon instinct de survie.

Au revenais aux camps à la mise de la viande sur le feu, je me rappelle des flammes, le bruit du feu faisant crépiter la viande sous son feu de joie, savez-vous ce que cela fait d'être confronté à sa plus grande peur sans pouvoir se défendre. De penser y rester de cette façon . Ce fut le cas pour moi. La peur d’être seule et de perte le contrôle. Ma nouvelle vie, allée commencer dans ses groupes. La vision de ces cicatrices sur mon corps m’hanterait toute ma vie.


✗ Welcome to Crime, Outlaws are a real family ✗

EC
Et ta petite histoire plus ou moins longue ici. (Demande minimum 10 lignes)
Histoire
Le rôliste a la parole.

Mon Pseudo  :Miss-sucette
Je suis disponible : 24 H, 7J sur 7.
Comment tu trouve le forum : aussi beau qu'un corps sans vie.
Comment à tu trouve le forum : merci a Rockstar Games de nous avoir donne les idée pour le forum.
Mon personnage : une Inventée
Le code du règlement : *Pan,Pan* Bien quoi tu croyais que j'allais laisse se serpent partir ?
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Ashe McCarty
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Localisation : Va voir en enfer si j'y suis, ho pardon on y ai deja.
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