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Calem Kallahan - Hors-la-loi

 :: La brochure :: Dossier d'inscriptions
Dim 18 Aoû - 0:14

 
Calem Kallahan
  • 23 ans
  • BlackWater
  • Homosexuel
  • Garçon d'écurie
  • Hors-la-loi
  • 5/10
« This is how it's gonna be. This is what you'll think of me…It's going down like I told ya! This is how its gonna be. I'll be the last man standing here… »

Qualités : Observateur, intelligent, charismatique, bonne dextérité, social, fin parleur, joueur, grand gamin et ambitieux

Défauts : égoïste, jaloux, impulsif, malsain, kleptomane, manque d’empathie et vulgaire

À cause de son passé, Calem a beaucoup de problème comportemental et social. C’était un enfant timide, tranquille et peu bavard  à l’époque mais dès son adolescence il a radicalement changé. Remplis d’énergie, il ne cesse de jacasser quelques secondes. Certes, beau parleur ils ne voient cependant pas le mal à mentir pour attirer l’attention et avoir les compliments des autres dans une histoire inventé de toute pièce. Son apparence lui donne un air insouciant et son peu de maturité a traité les sujets sérieux vous donner clairement l'impression que Calem est un jeune homme très stupide. Il voient tout comme un jeu, semble avoir aucune peur et agis comme un enfant. Il vous donner l’image qu’il souhaite pour mieux cacher ce qu’il est vraiment.  Son manque d’empathie envers les autres, de compréhension de l’intimité d’autrui le rend très malsain. Il n’a pas la même notion de l’amour et d’amitié que les autres. Son père adoptif : Augustin Kallahan le décrirais comme un jeune très troublé et instable. Ceux qui connaissent Calem depuis longtemps savent à quel point il peut se montrer instable sous cette apparence de bel homme charmeur…

Les autres le décrivent comme un beau parleur, un fin tireur, un homme souriant, quoi qu’un peu ridicule…

« Reste quand même sur tes garde, Cal’ peux être spécial… »


Caractère
« What you gonna do? I'm gonna rock you, I'll have you begging for mercy begging for mercy ohh! ~ I'm dangerous…So dangerous»

Ain't got no place to call a home. Only chains and broken bones.

Il est né à Blackwater, dans les Greats Plaines dans une maison à revenu faible certes mais chaleureuse et aimante.  Un enfant normal, dans une famille normal. Sa mère est, probablement comme toutes les mères, si aimante avec lui. Le berçant dans ses bras en chantonnant une douce mélodie pour que son fils s’endorme. Pourtant, aussi loin qu’il essais de se remémorer le visage de son père et sa mère, il n’y parvient pas. Trop jeune, trop insouciant… Seul son chant persiste et réussi à lui remémorer qu’il a déjà eux une mère. Son père malheureusement, il ne la jamais connu…Aucun souvenir.

Il est partie trop tôt, à ses 3 ans un groupe de hors-la-loi son venu le confronté à propos de l’argent qu’il devait : $1 200, c’est beaucoup, beaucoup trop demander pour une famille qui ont désormais une bouche de plus à nourrir et un père ne pouvant plus exercer son métier…Ils risquaient de perdre leur maison…

Et ils ont tout perdu. Absolument tout.

À ses 5 ans ils sont revenus s’en prendre à sa mère. Son père n’étant plus là pour protéger sa femme et son jeune enfant, les membres du groupe de rebelle on mit la maison en feu et son partie avec eux. Faisant subir à la mère des atrocités qu’aucune personne ne devrait subir. Traité comme une esclave, elle a résisté aussi longtemps qu’elle le pouvait. Face à son enfant, elle ne pouvait pas se montrer aussi faible. Pourtant, elle en avait le droit. Heureusement, sa mémoire à effacé ces passage atroce. Elle n’a pas survécu bien longtemps, elle la laisser seul dans ce monde de pourriture entourer de malfrat et de gens malsain. Perdre sa mère est un grand traumatisme, vivre avec ceux qui l’on maltraité est un réelle cauchemar. Ils ne se sont pas arrêté là, l’enfant innocent est une victime idéal pour ce genre de personne. Ils l’on traité comme une femme si longtemps, l’obligeant à ce laisser pousser les cheveux pour le ridiculisé. Il le traitait comme une prostituée, faisant de son corps leur jouet. Remplaçant probablement sa mère…
Il aurait bien plus s’enfuir, mais pour aller où? Le monde lui était encore inconnu à ce jour et courir pied nu n’étais pas une solution pour échapper à ce calvaire… Écouter était la meilleure solution pour survivre.
Après deux ans à vivre aux côtés de ce genre de personne. Ils pouvaient bien croient qu’il leur était fidèle. Le libérant de ses chaînes, il pouvait aller ou ce qu’il voulait dans le camp. Nourrir les prisonniers et s’occuper des chevaux étaient sa tâche. Il reste cependant le joujou de ses pervers, habillé que d’un chandail souillé d’alcool. Sa condition n’était pas plus réjouissante que celle d’un esclave. Cette pression sociale, de soumission permanence,  d’être l’objet de ses hommes pervers et monstrueux l’oblige à obéir. Sans amis, sans personne à qui parler, le seul réconfort qu’il pouvait avoir étais la présence des chevaux.  Dont un en particulier. Lorsqu’il se mettait à sangloté silencieusement dans la noirceur du relais pour les chevaux, cet étalon venait descendre son encolure pour coller sa tête contre la sienne. Ce Turkoman encore jeune lui accordais plus d’importance que n’importe quel des hommes du camp. Il s’endormait souvent près de celui-ci. Au creux des pattes avant de l’animal, qui reste immobile tout le temps qu’il devait ce reposé. Comme si l’animal pouvais comprendre la détresse psychologique qu’il vivait chaque jour avec eux.
Voyant la bonne entente entre le gamin et l’équin, les membres du groupe décide d’en faire la monture pour le jeune. Qu’il nomme par la suite Shérif.

Ou pouvait-il bien aller après tout? Sans famille, sans nom, l’enfant était attaché au groupe par obligation. Autant en faire un soldat et un nouveau membre du groupe pour plus tard. Ils ne gardaient pas les femmes. Les esclaves eux sont vendu contre du matériel ou utilisé comme appât pour les braquages. Ils lui ont montré comment diriger un équin, enfin cet équin. Tout comme ce servir d’un pistolet. On le récompensait de la sorte, « hey gamin, si tes gentil et tu vas me chercher une bière je t’apprendrais à utiliser un revolver ». Suivit de rire moqueur. Il est jeune, soumis mais pas stupide à ce point. Autant profité de cette pauvre apprentissage pour s’en servir plus tard…
4ans, passé avec eux avait fini par passé…Il en avait vue des choses, du sang, des doigts coupés, de la violence gratuite, de le harcèlement sexuel, des viols et des meurtres de sang-froid. C’était la normalité, sa normalité. À 9 ans et il n’avait toujours pas de nom. Il parlait aussi très peu, son éducation…Bah il n’en n’à pas. Diriger un cheval et maintenir une arme c’est de la haute éducation voyons…Au moins à cet âge, il commence à comprendre des choses : les regards mesquins, toutes les mimiques de ses gens mal honnête. Il en a marre qu’on te touche sans que qu’il ait son mot à dire, il a son propre caractère qui se développe.  Quand on frappe son cheval pour rien, y’a raison de s’énerver. Shérif est la seule personne sur qui il pouvait compter et lorsque des types saouls s’amuse à  provoquer des sentiments négative vis-à-vis eux…Sa hantise une envie de vengeance, de violence, de faire pareille.  Il avait beau essayer de frapper le mec, son poing tout frêle avait que chatouiller l’homme plus musclé que lui. On la repousser violemment au sol et on s’est moqué de lui (encore). Versant leur bière sur l’enfant en crachant sur lui. Le quotidien. À être seul, à ne pas pouvoir pleurer dans les bras d’un adulte responsable et de confiance. Sa figure parentale au pauvre bonhomme? C’est son cheval, il l’écoutait, ne le frappais pas et pouvais ce montrer réconfortant.

À vivre dans un environnement aussi malsain depuis si longtemps, là où le sang et les hurlements des gens désespérer ce faisait entendre chaque jours. Où tuer quelqu’un semble banal pour régler un problème. C’est cette solution qu’il envisage pour ce débarrassé des deux hommes qui le font plus chier. Mais… Comment pouvait-il s’en prendre à deux hommes d’âge mature sans risquer d’y laisser sa peau? Il y avait réfléchit longuement aprèsquelque évènement frustrant. Ce réconfortant auprès de shérif à tous les soirs ou sa peine devait trop insupportable.  Le jour de la vengeance avait bientôt sonné : le groupe devait retourner dans à Roanoke Ridge. Il n’avait aucune idée ou c’était. Depuis 4 ans qu’il ère à New Austin sans le savoir.  C’est durant ce long voyage, chaque fois qu’un camp ce monte puis ce démonte. Qu’il prépare son plan pour arrêter ce cauchemar … Il y a tellement pensée, il en a même rêvé. Qu’est-ce que ça fera comme bruit quand la lame de son couteau va s’enfoncé dans sa gorge? Comment le sang va sortir? Est-ce que ça va gicler? Est-ce que l’homme va hurler ? Il avait déjà vue la mort à travers les yeux d’un homme…Souvent les prisonnier périssait par manque de nourriture et comme il devait les nourrir, il s’occupait aussi de devoir sortir les corps qui pourrissait. La mort, il voulait la voir sur le visage de ses deux hommes. Plus les soirs passait, plus le murmure à l’oreille de Shérif devenais déterminer, confiant, sûr de lui : ils vont mourir…Ils vont mourir…Ils vont mourir…

Pendant la nuit il avait volé ce fameux couteau. D’un pas silencieux,  évité les surveillants  en s’approchant dangereusement de ses deux cibles. Son cœur battais si fortement dans sa poitrine, que ses  battement de cœur le faisait avancé. Excitant, grisant de mettre un plan à exécution. De suivre son instinct, de ne pas écouter les ordres d’un adulte.
Ses douce main ce serre contre le manche du couteau alors que ses deux genoux ce pose autours du corps de l’homme….La lame brillante dresser au-dessus de ta tête. Avant de s’abattre violemment dans la gorge de l’homme. Ce liquide contre son visage si jeune avait provoqué un souffle saccadé dans sa poitrine.  Est-ce son souffle qui avait éveillé l’autre homme, ou le crie qu’il n’a pas entendu ? Il ne le sait pas, mais surpris d’avoir réveillé l’autre homme il se redresse en retirant le couteau de la gorge de sa victime et se mit à courir vers le relais à chevaux. Accrochant au passage la lampe à l’huile. Renversant sur le sol son contenu qui embrase rapidement dans les flammes les marchandises et les fourrures à proximité. Il courrait, courrais aussi vite aussi longtemps que possible loin de ses hommes. Vers l’Est? L’Ouest? La forêt est trop dense pour qu’il ne sache par où il allait. Il avait pris la longe de Shérif avant de s’enfuir dans le bois. L’équin à ses côtés trottait rapidement sans piétiner l’enfant fuyant.

Sans ce retourner, il courrait, à cheval aurait été plus rapide et sécuritaire, mais il était trop petit pour embarquer seul sur sa monture. Ce n’était pas plus mal, puisque rapidement il n’entendait plus les hurlements des hommes furieux. Ils les avaient probablement semé : ou ils n’avaient pas couru après lui, ce disant qu’il décédera par la faim ou le froid dans ce milieu sauvage. Arriver un moment ou une rivière agité bloque son avancé. La longé? Retourné au camp? Le jeune enfant ne réfléchissait pas à ça. Il la traverse sans avoir la force pour maintenir sur ses jambes. Il tomba et s’écorche les genoux et les tibias. L’équin, attentionné pour cet être frêle, viens faire office de ‘’rempart’’ avec ses pattes. Freinant la chute de l’enfant. C’est grâce à la patte du Turkoman qu’il avait réussi à s’accrocher pour ce remettre debout. L’eau est froide, glacial…La nuit n’aide en rien. Il est si jeune, si frêle, si faible…Il ne survivra probablement pas, mais il ne le sait pas. Avait-il peur? Il ne le sait pas. Ses sentiments sont tourmentés, tout comme ses pensées. Il trébuche de nombreuse fois avant de lâcher prise sur la longe de l’équin qui le réconfortait depuis le début de son passage en enfer dans ce groupe: Depuis la mort de sa mère.
L’herbe est froide, emplis de rosé, aient que pour habit qu’un chandail désormais trempés, la morsure glacial de la nuit ce faisait ressentir dans tout son corps. Les températures chaude de New Austin est très différente d’ici, même les nuit à New Austin n’étais pas aussi mordante. Sanglotant d’épuisement, l’enfant ce roule en boule au pied d’un arbre. La fatigue le forçant à fermer les yeux, ce laissant à la merci des prédateurs.

The devil's going to make me a free man. The devil's going to set me free.

Il se réveille sur le dos d’un cheval beaucoup trop large pour qu’il ne puisse mettre ses jambe de chaque côté. Emmitoufler dans de la peau de wapiti, un homme âgé tenais les rênes. Son cœur s’arrête un moment, mais l’homme le regarde d’un air tendre le détendant immédiatement. Il ne fait pas partie du groupe, il ne la jamais vue lui non plus.

« Ça va gamine? Je suis content de voir que tu as ouvert les yeux. Je craignais que tu ne meures de froid. Tu faisais quoi? En culotte au côté ton cheval. »

« …. » Bien qu’il se soit trompé sur son genre, il ne dit absolument rien. Avec les cheveux longs et ce chandail beaucoup trop grand pour lui, il est compréhensible qu’on puisse se tromper.
« Tu as de la famille? Ou est ta mère et ton père? »
« … »

De la famille? Non, il n’a absolument plus rien. Nulle part où aller… Mais, par famille. Shérif? Il n’…Non il n’était pas partie! Shérif suivait docilement le voyageur qui l’avait pris sous son aile. D’ailleurs, en regardant autours de lui, il ne reconnaît pas du tout le paysage. Le soleil est chaud malgré l’air froid, c’est une magnifique région.

« Écoute, tu peux pas être habillé comme ça. Tu vas venir avec moi, on va te passer des vêtements plus chaud et je te ramènerais à Strawberry tu veux? Tes pas bavard comme enfant hein. » Lance-t-il en souriant avant d’ordonner au cheval de mener un trot. Il avait longuement regardé le vide, ne sachant pas quoi faire de sa vie désormais. Avait-il tué l’autre homme? Ou il avait survécu? Il semble vivre dans un cauchemar même lorsqu’il est éveillé. Il avait peu dormi et mal dormi n’oublions pas. Le hennissement de Shérif lui avait fait redresser la tête. Il avait tendu sa main tâché de sang vers le Turkoman qui se rapproche pour poser sa tête quelque seconde contre sa main.  Le vieil homme rigole de bon cœur.

« Tout cas ton cheval t’aime beaucoup je dois dire. Je comprends que tu l’aime beaucoup aussi, il ta surement protéger toute la nuit vue la manière dont tu étais couché contre lui.  Des chevaux comme ça ce n’est pas tout le monde qui peut en avoir un! Ragnar c’est une grosse tête de mule, tiré du bois c’est juste ça qui l’intéresse. » Rigole t’il en tapotant l’encolure de la bête sur lequel les deux était assis. L’homme, il ne le connaissait pas mais il semblait avoir bon cœur. Il observe longuement les traits de son visage. Peut-être un peu trop même, puisque même l’homme lui avait posé des questions qu’il avait complètement ignorer.  Ces cheveux mit-court brun au reflet roux, sa barbe tout de même bien taillés pour un homme de son âge. Il n’est pas si vieux, mais avec les rides qui commence à apparaitre sur le coin de ses yeux et sur son front. L’enfant comprenait qu’il n’était plus tout jeune non plus. Il se sentait en sécurité dans le creux de ses bras.
Ils s’arrêtent en bordure  d’un chemin, pour ensuite pénétrer un peu dans un boisé. Une maisonnette s’y trouvait et quelques tentes d’infortune autours. Un feu de camp au centre crépitait joyeusement en réchauffant un gros chaudron.  Une femme noir, bien habillés, brassait son contenu. Ton cœur c’était serrer. Un autre groupe avec des esclaves? L’immense cheval s’arrête face à un relais. L’homme débarque de sa monture et vient ensuite tendre ses bras vers lui.
« Aller fillette, viens on va aller t’habiller avant d’essayer de retrouver tes parent. » Il s’élance en se laissant glisser sur le côté du flanc du cheval, apportant avec lui les multiples peaux qu’avait mis l’homme autours de son corps pour le réchauffer.  À ce moment, la femme noire s’approche.
« Une petite nouvelle Auguste? T’aurais dut me le dire que tu nous rapportais de la compagnie, j’aurais fait plus à manger… » Demande la femme, enthousiasme à l’idée d’avoir une compagnie féminine au camp, en s’approchant, il voit clairement que la dame est aveugle d’un œil et qu’une cicatrice barre son visage et sa bouche est aussi meurtrie. L’avait-on battu?
« Ahaha, bien non ma belle Julia. Elle n’est que passagère.  En revenant de Strawberry j’ai trouvé cette jeune fille au pied d’un arbre, couché avec son cheval. Je crois qu’elle s’est perdue. »
« Awwwh, la pauvre…August’, perdu? C’est parent ne serait pas entrains de la chercher? »

Les deux adultes continues de discuter alors que l’homme l’amène dans la plus belle cabane de bois sur le terrain. Beaucoup plus luxueuse que les deux autres tente improvisé avec du bois et des toits en feuilles d’épinette. L’homme lui passe un pantalon et un chandail qui s’ajuste un peu mieux à sa taille. Tout est visiblement trop grand pour lui, mais sa semble être d’avantage de son âge. Il lui donne les vêtements et tire un rideau.  Lui demandant d’enfilé ça pour au moins se rendre à Strawberry…Pourtant, il n’y touche pas…Restant debout face au rideau…Alors que non loin de la porte d’entrée les deux adultes discutes de son sort. On parle que ce n’est pas normal qu’il soit à moitié nu, qu’ils n’aient aucune selle sur son cheval, qu’ils aient du sang sur lui…Ils se doutent bien que le jeune a vécu un truc qui ne tourne pas rond. Un viol? On a ensuite jeté la dite « fillette » dans la forêt avec son cheval? Voyons, un cheval en bonne santé ce revend très bien!

Il décide de retirer son chandail, ce mettant complètement nu.  Avant de venir s’emmitoufler dans les peaux de wapiti. Après quelque minutes à avoir aucune nouvelle de l’enfant (en plus il ne dit pas un seul mot depuis le tout début) c’est la femme du camp qui s’approche et tire doucement le rideau en lui demandant si tout allait bien…

Il c’était endormi dans les peaux.

Les semaines passe rapidement, puis les mois…Ils avaient fini par faire connaissance, comme il avait fait leur connaissance. Augustin Kallahan, le vieille homme qui la trouver. C’est un type franchement bien. Bûcheron de Strawberry, mais aussi homme à tout faire, c’est lui qui a établis un camp autours de chez lui. Ils sont un petit groupe, dont fait partie Julia. La seule femme du camp qui est très respecté. Ancienne esclave et battu sévèrement à plusieurs reprise par des hommes aussi pervers et malsain que ceux dont faisait partie notre jeune homme. Elle s’occupait de la besogne du camp, couture et repas. Tous la respectent beaucoup ici. Puis il y a Emrick. Un peu plus vieux que lui, il est le fils adoptif d’Augustin. Il a lui aussi perdu ses parent. Malgré c’est 12 ans il est déjà un beau jeune homme et s’occupe de tout ce qu’il peut faire. Il travaille déjà beaucoup à Strawberry. Son rêve est de devenir fonctionnaire, ou un truc du genre à Saint-Denis.  Et pour finir il y a cet homme bien grognon. Lui manquant quelques doigts, quelques dents aussi. Il s’appelle Hans, mais tout le monde l’appel L’irlandais. Une insulte? Oui, mais tous ici le disent avec tendresse. Cet homme manuel s’occupe des chevaux des quatre membres du groupes, bientôt le cinquième qui sera Calem….

C’est Augustin qui lui donne ce nom. Ce fut pas facile avec lui, puisqu’il ne parle pas beaucoup et pris peur de tout. Toujours coller contre August’ il est difficile de le laisser au camp. August’ et Julia comprirent rapidement qu’il ne sera peut-être jamais ce qui s’est réellement passé dans la vie de Cal’.  Depuis le début il n’a donné aucune information à son sujet…Enfin, ça n’a plus d’importance désormais.  Calem Kallahan, c’est son nom. Son père adoptif est Augustin et il vit désormais dans ce groupe  au Nord Est de Little Creek River.

Amenant partout avec lui Calem, August’ le présente à un autre jeune que Emrick. Un jeune indien (qui ne ressemble pas du tout à un indien). Un certains Kurt Linton? Nommer par son nom d’indien : Perched Owl. Il ignore pourquoi, mais ce jeune indien l’intriguais beaucoup.  August’ a une bonne relation avec les indiens de la réserve Wapiti. Il fait beaucoup de troc avec eux et les aides à vivre mieux. Apportant des vivent dans les temps les plus dur. Le chef est d’ailleurs un bon ami à lui et comme ce Perched Owl est son fils adoptif. Augus’ c’est dit qu’il serait important que les deux gamins ce rencontre.  Calem est trop timide pour aller à sa rencontre, mais il le trouvait captivant. Cette fascination deviens même maladive…Chaque fois qu’ils faisaient le voyage pour la réserve, il espionnait Perched Owl.  Puis, les années défile et cette fascination reste…Maintenant apte à seller et monter son cheval seul, Calem pris l’habitude d’aller à la réserve et suivre discrètement le jeune chasseur. L’observant manier l’arc, l’observant pêcher, l’observant dépecé, l’observant faire toute ses activités quotidien. Il connaît même toutes les personnes à qui il discute.  Allant même jusqu’à espionner dans son intimité. Comment s’habillais-t-il? Ou il dormait? Ou allait-il ce soulagé? Il regarde, décortique chaque geste qu’il fait. Cette habitude malsaine persiste alors que personne ne le sait. Perched Owl ne connait absolument rien de Calem, mais Calem connait tout de Perched Owl…

Même qu’un jour, à la plus grande joie de Calem. L’indien avait décidé de déménager et de construire sa propre maison dans le Nord du Lac Owanjila. Il se rapprochait donc de lui sans qu’il ne le sache!  Cette évènement avait tellement fait plaisir à Calem, il ce sentais si excité à l’idée de faire moins de chemin pour observer cet individu. Il était désormais sur le même territoire, le même terrain de chasse. Il partageait la même parcelle de terre…Dès qu’il allait à Strawberry, tout ce qu’il touchait…Calem pouvais désormais le toucher aussi. Il savait aussi les jours ou ce Perched Owl avait l’habitude d’aller à Valentin pour boire un coup.  

Jusqu’à ce qu’un jour…5 ans après l’avoir observé jour et nuit sans qu’il n’ait conscience de quoi que ce soit. Sans qu’il ne sache qui il est. L’opportunité de se rapprocher de lui tout en gardant son anonymat ce produit...  

[...]

What you gonna do? I'm gonna rock you!




Histoire
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Calem Kallahan
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